Revue de presse : Septembre 2014

, par françoise

  • Energie

Un article de plus qui pointe le non-sens économique que sont les gaz de schiste, sans parler de la pollution irréversible des sites.

Total réduit sa production et ses investissements

  • Climat

Le rapport annuel "Global Carbon Budget" montre qu’au rythme actuel, le "quota" de CO2 à émettre pour limiter la hausse de la température moyenne de ’atmosphère à 2°C, sera épuisé en 30 ans. De plus, la moitié des ressources fossiles devra rester sous terre.

Le rapport de J. Jouzel sur le futur climat en France.

La concentration record de CO2 dans l’atmosphère, serait due en partie à la réduction des quantités de CO2 absorbées par la biosphère terrestre.

Des eaux chaudes envahissent l’océan artique

Dimanche 21 septembre 2014, Marche mondiale pour le climat.
A New-York, la marche mondiale a été un succés

Réunis au siège de l’ONU, à New-York, les chefs d’état et de gouvernement sont sommés d’agir.

Le numéro d’Octobre de Nature Climate Change

La responsabilité de l’homme est démontrée pour certaines vagues de chaleur, mais pas toutes

  • Ressources

Un magnifique reportage multimedia sur les dégats de l’exploitation minière par AREVA en Mongolie.

Une catastrophe écologique due à l’industrie minière au Canada.

Quand le monde manquera de métaux.

Greenpeace publie son 19ème "Guide pour une high-tech responsable".

  • Agriculture

La Chine s’éloigne de l’auto-suffisance alimentaire

Le grenier à riz de la Colombie à l’épreuve du changement climatique

  • Résilience

La recharge, une épicerie où acheter ses produits sans emballages, mais c’est à Bordeaux. A paris, ce serait plus difficile.

L’urgence de ralentir : "Ce que nous vivons, c’est la colonisation du temps humain dans toutes ses dimensions – biologique, social, écologique – par le temps économique. C’est un temps vide, sans racine, sans histoire, seulement occupé par la circulation des capitaux. »

On peut rapprocher ce reportage de la dénonciation d’un ancien cadre de Goldman Sachs qui démissiona avec fracas.

"Ca va mal, ça va très mal, ça ne pourrait pas aller plus mal" dit le pessimiste.
"Mais si, mais si" dit l’optimiste.
(H. Reeves, l’ECHO de Humanité et Biodiversité)